Récit du voyage
La Panaméricaine 2014 / 2015
récit
3
Chaque soir, il y a généralement un briefing. C’est le moment de discuter du programme du lendemain. Si l’on ajoute à cette réunion les fiches parcours, les cartes et la trace GPS, il est (presque) impossible de se perdre en chemin !
Nous voici arrivés à la péninsule Valdés !
Même si notre guide Janette est une habituée du lieu, le paysage est si spectaculaire qu’elle trouve toujours de nouvelles photos à prendre !
Puerto Piramides est la seule localité de la péninsule. Quelques chalets sur la plage nous invitent à prendre des vacances !
Ici, les maisons sont colorées et imaginatives. Chacun décore sa propriété selon ses goûts.
Dès le premier jour, nous partons à la découverte de la péninsule. C’est la rencontre avec les premiers manchots de Magellan.
Même des tatous traversent notre route !
Notre guide Maria essaie son nouvel appareil photo, qui lui a été offert par des participants à La Panaméricaine de l’année dernière.
Nous sommes en novembre et c’est l’époque de la floraison. Ici, c’est le printemps, le monde est à l'envers !
Le lendemain, nous partons en expédition pour observer les baleines.
Wow, les baleines franches australes ne craignent pas de s’approcher de notre bateau !
Les appareils photos font feu de tout bois !
Les baleines font gala de leur nageoire caudale.
C’est le bonheur !
Maria traduit pour les participants. Elle nous apprend beaucoup de détails étonnants sur les mammifères marins. Par exemple, qu'un bébé baleine a besoin de 200 litres de lait par jour ou qu'un pénis de baleine est long de 2 mètres et a des capteurs à sa pointe !
Les baleines nous montrent leurs plus beaux atours.
Et elles le font à plusieurs reprises, pour notre plus grand plaisir !
L’excursion en valait définitivement la peine !
À Trelew, nous avons visité le musée de paléontologie. Nous voici maintenant à la station de bus, dont les murs sont peints de manière artistique.
Gaiman est une petite localité fondée au 19e siècle par des colons gallois.
La tradition britannique du « Five o’clock Tea » y a été préservée.
Nous dégustons avec plaisir le thé et les gâteaux, comme Lady Di l’avait fait, ici même, avant nous.
La table est richement décorée. Vraiment, nous nous sentons comme chez nous !
Oscar est toujours content de notre visite. En fier grand-père, il présente son dernier petit-fils à Hanni, qui parle bien l’espagnol.
Oscar nous a préparé un grand feu.
Nous partageons une coutume bien argentine : le maté. Ce thé local se boit dans une calebasse, la « bombilla », au moyen d’un tube. La calebasse passe de main en main et on boit en communauté. Hans commence et passe la calebasse à son voisin.
Le maté n’est apparemment pas la boisson préférée de Jean-Paul…
Marcel a également essayé…
A défaut de bavardages autour d’un café, ce sont des commentaires sur le maté !
Autour du feu de camp, nous mettons fin à une journée bien chargée !