Récit du voyage
La Panaméricaine 2017 / 2018
récit
27
Costa Rica 2
On parlait auparavant de PURA VIDA et maintenant on peut le confirmer lors de notre entrée à l’intérieur du pays et ses magnifiques volcans.
Une tradition à Sarchi : peindre les roues des calèches. Un travail minutieux et complexe.
Mais après une belle journée, on en profite pour flâner un peu.
La piscine est une bonne idée, d’autant plus que nous étions étrangement seuls.
Les français préfèrent jouer aux quilles finlandaises. Celui qui perd devra payer l’apéro.
En tout cas, tout le monde est content quoi qu’il arrive.
Après le repos, une petite coupe de vin fait du bien. En plus la température baisse. Une bonne nuit s’annonce.
Ces arbustes sont une spécialité de Zarcero, petite ville au milieu de la montagne costaricienne.
Bienvenue en Suisse. Notre étape nous conduit directement dans un hôtel entièrement construit avec des matériaux et un style venant du pays helvète.
La vue est imprenable avec comme fond le volcan Arenal.
Ici, Kurt et Susi face au volcan Arenal lors d’une visite de ponts suspendus.
Une des nombreuses vues depuis les ponts suspendus. Du vert à perte de vue.
Photo de famille face à l’Arenal.
Regarde Annie ! Un singe araignée ! Enfin, il y en avait tellement que je pense qu’ils les observaient.
Avec le vide autour, la première fois, c’est toujours comme ça.
Faites ce que vous voulez, observez-moi, photographiez-moi mais laissez-moi manger !
Très pratique cette troisième jambe, surtout pour se chercher à manger.
Marisa et Ernst termine l’aventure par une photo souvenir.
Maja doit aller chez le dentiste sous la protection d’un ange derrière…
La randonnée Lava 68 est née d’un éboulement en 1968. Elle en vaut la peine. Le point final est encore une fois le volcan Arenal.
Arbre de type palétuvier.
Ce n’est un « esquiro » landais mais bien un écureuil affamé centraméricain.
Pour certaines les nuits sont longues, pour d’autres, c’est tout le contraire.
Enfin découverte, voici le volcan Arenal dans toute sa splendeur.
Je me dois de poser avec lui.
Nos camping-cars face à l’hôtel suisse.
Pour aller manger, on prend le train. Train suisse venant tout droit d’Europe.
C’est un plaisir pour tout le monde d’autant plus que c’est le seul du pays.
La petite chapelle San Judas Tadeo a aussi été faite sur place. Son plafond est exceptionnel.
De beaux balisiers bordent le chemin menant au restaurant.
Dernière étape au Costa Rica et retour sur la côte. Le camping était encore une fois tenu par un suisse.
Très bel aperçu d’un geai à face blanche.
Les singes étaient partout de nuit comme de jour. Ils se laissaient facilement photographier.
Ils sautaient d’arbre en arbre juste pour nous (je précise que ce n’était pas programmé…).
La mère porte toujours son petit qui pour le moment apprend le métier.
Ce mâle cherche sa femelle.
Notre étape terminée, un nouveau pays nous attend après la frontière : le Nicaragua.
Il faut être patient. D’abord les passeports, ensuite des papiers…encore des papiers…toujours des papiers…
Et puis la dame était très rapide. Gérard le confirmera.
Noldi doit encore présenter les papiers du véhicule avant de pouvoir traverser officiellement la frontière.
Ca y est, on est au Nicaragua. On s’attendait à voir des Dodge ou des Ferrari. Il faudra attendre.
Petit arrêt à Playa Virgenes face à l’île d’Ometepe et le volcan Concepción (1610 m).
Ça donne envie d’y aller mais en camping-car, c’est compliqué.
Première arrêt à Granada, « La Grande Sultane » fondée en 1524 par Francisco Hernández de Córdoba.