Récit du voyage
La Panaméricaine 2017 / 2018
récit
28
Nicaragua
Enfin entrés au Nicaragua, nous commençons notre aventure par une des plus belles villes d’Amérique Centrale et nous remontons vers le Nord car notre envie de continuer la Panaméricaine nous empêche de rester au même endroit.
Depuis notre bivouac, le lac Nicaragua (ou Cocibolca) a des airs féériques et tout le monde en profite.
Nous sommes tous alignés bien sagement le long de la route, à quelques kilomètres du centre-ville.
C’est depuis la tour de la cathédrale que nous nous rendons compte de l’influence andalouse dans la conception des villes d’Amérique Latine.
On décide de visiter la ville en calèche, c’est plus agréable mais c’est aussi l’héritage espagnol qui perdure depuis plusieurs décennies.
Les 130 chevaux du camping-car laissent la place à deux chevaux nicaraguayens.
L’église de Guadalupe (1624) est intacte. L’eau du lac Cocibolca arrivait au niveau des marches avant.
Le Couvent San Francisco date de 1529 et est un des premiers bâtiments de la ville.
Les rues sont colorées et c’est bien agréable.
La pub est omniprésente partout, y compris sur les calèches.
Vue sur la cathédrale et le lac Cocobolca.
Myrtha ne raterait ça pour rien au monde !
C’est toujours bien de travailler avec le sourire même s’il fait très chaud.
CHO CO LA TE au musée du chocolat.
Autre belle église à Granada.
La place d’armes surplombée du volcan Mombacho.
Mon amie Carmen à Granada. Tout cela fait très andalou.
Petite excursion en bateau dans les petites îles du lac. On y trouve la mangrove et des oiseaux.
Le volcan Mombacho et le lac Cocibolca.
Il faut bien penser à s’hydrater pendant le voyage, tout le monde l’a bien compris.
Sur l’île aux singes, celle-ci est venue nous rendre visite.
Il faut qu’elle nourrisse son futur petit.
Bonne orientation pour le coucher de soleil.
La vie continue tranquillement à Granada.
Des couleurs partout, c’est ça Granada !
Toutes les maisons ne sont pas le mêmes mais toutes ont leur charme.
Les rocking chairs sont une des spécialités du pays. Si vous regardez bien, vous en voyez partout.
Le soir aussi c’est sympathique, les rues prennent une autre dimension.
Encore une photo nocturne.
Avec les couleurs des lumières et des maisons, le résultat nous donne ça
La cathédrale de nuit est encore plus jaune que d’habitude.
Un dernier coucher de soleil avant le départ.
Monique et Jean-Marc n’ont plus le temps d’aller à l’école !!!
Le volcan Masaya est un gigantesque cratère fumant.
Mais l’accès peut se faire en camping-car.
Les gaz toxiques ne sont pas un problème pour tout le monde.
Un champs de roches volcaniques créé par l’éruption de 1670.
Cap vers le nord et vers une fabrique à cigare. Le pays est le troisième producteur mondial.
Tout le monde aime le cigare. Michèle en est la preuve.
5 des 10 meilleurs cigares au monde viennent du Nicaragua.
On y va à plein poumon pour vérifier la qualité du produit en profondeur.
C’est elle qui gère les stocks. Tout est bien classé.
Ils sont différents par la taille et par le goût. Les puristes apprécieront.
Finalement, il faudra en retirer un du stock car en fait la tentation est trop dure.
Même Monique a craqué et pourtant ce n’est pas son habitude.
Après quelques kilomètres, nous arrivons à la frontière du Honduras.
Côté Nicaragua, l’espace était restreint mis la musique était très forte. On s’entendait à peine.
La rapidité des assureurs n’est pas leur point fort donc j’ai dû l’aider : Ce n’est pas un problème ici. En Europe, ceci est très clairement impossible.
Sarah et moi, deux nouvelles amies.
Le Honduras a eu des problèmes récents mais c’est plutôt un pays tranquille. Par contre, les militaires sont omniprésents sur la route.
Traversée de Tegucigalpa, capitale du pays.
Le pays par endroit est en feu mais c’est juste pour l’agriculture : il ne faut pas s’inquiéter. En effet, le pays attend la pluie dans un mois.
Mais, parfois, on a ce type de paysage sur les routes.
Notre camping à Zambrano, dans les alentours de Tegucigalpa. Tranquillité assurée !
On a récupéré du bois pour faire un feu et aussi un petit apéro (qui s’est prolongé).