Récit du voyage
La Panaméricaine 2017 / 2018
récit
29
Honduras
Notre aventure au pays centraméricain du Honduras nous conduit plus au Nord et nous arrivons à la bonne époque : pendant la Semaine Sainte. La dévotion des Latinos est unique, les couleurs sont magnifiques.
Avant de partir, avant le lever du soleil, les couleurs sont les plus belles.
Les catholiques devant, les athées dehors…plutôt derrière.
Les gens vendent des rameaux dans les rues de Comayagua pour quelques lempiras (monnaie du Honduras).
Le Christ est porté par un âne et parcoure le centre historique de la ville avant d’arriver à la cathédrale.
Bien entendu, plein de personnes le suivent.
Ensuite, tout le monde entre dans la cathédrale pour assister à la messe.
D’autres arrivent par un endroit plus calme.
La police est toujours là et était même étonnée de voir des touristes.
Des vendeurs ambulants arpentent les rues et mettent les rues en couleur.
Les invendus reviennent à la maison.
Voici une porte qui se trouve sur la place centrale.
Les musiciens continuent la fête dans une rue plus tranquille car c’est aussi ça la Semaine Sainte.
La cathédrale de la ville a une des plus anciennes horloges du pays, cadeau fait par l’Espagne.
Plus au nord se trouve une beauté naturelle : le lac Yojoa, réputé pour le tilapia.
Nous passons la nuit au pied de la plus grande cascade du pays : Pulhapanzak.
Annie célèbre son anniversaire et tout le monde y participe (bien entendu).
Le long de la Panaméricaine, on retrouve du feu.
Ainsi que de grands camions chargeant la mélasse. Parfois, il y a plus de deux remorques.
Les honduriens partent en vacances, ils ne déménagent pas !
Premier site Maya du voyage. Un site peu visité mais néanmoins intéressant : El Puente.
Sa petite pyramide a été bien restaurée.
Nous sommes seuls sur la Panaméricaine…
Enfin, quand on voit une voiture, elle est plus chargée qu’un autocar.
En France, je pense que c’est interdit même dans des petits villages.
Notre camping pour a nuit. Certains se sont garés sur le terrain de football.
Mais d’autres ont préféré la fraicheur en se mettant à l’ombre.
La place d’armes de Copán Ruinas animée de nuit par les artisans locaux.
Ici, la vie est paisible et les honduriens se reposent. Même le soir la chaleur est intense.
Les ruines de Copán se composent d’une grande pyramide ayant les principaux escaliers pratiquement restaurés.
Voici la stèle qui a permis aux archéologues et historiens de découvrir le calendrier Maya et comprendre pourquoi, par erreur, la fin du monde eut été décrétée le 21 décembre 2012.
Ici, une partie du palais de Copán.
Ces bâtiments étaient des appartements. Ils sont situés en contrebas.
Vu que je devais traduire en allemand pour le groupe de suisses, je peux me permettre d’être un moment le guide.
Une des particularités du site est la présence d’aras. C’est aussi l’oiseau national du Honduras.
Il est temps de manger après une visite de plus de trois heures sous le soleil.
Copán était notre dernière étape au Honduras et la ville se situe à quelques kilomètres à peine du Guatemala, notre prochaine étape.
Nous voici arrivés à Chiquimula. Notre camping se situe dans un ranch rempli de manguiers.
Sur la route, on trouve de nouveaux volcans.
Vue panoramique de Guatemala City.
Les bus ressemblent à des bateaux et sont encore une fois bien décorés.
Bienvenue aux Etats-Unis…pardon, à Guatemala City.
Immense panneau publicitaire sur la route avec peut-être ses 10 m de diamètre.
On a trouvé du gaz sur la route donc tout va bien. La police est plus curieuse qu’autoritaire.
J’ai tout d’une sainte, n’est-ce-pas mon Père ?